• « Je vends de belles oranges pas chères »

     

    Cette phrase tirée d’un sketch de Fernand RAYNAUD m’a plongé récemment dans les délices de Capoue.

    Seulement voilà…Comme le disait ce bon vieux Fernand  « …avec ta tête à vendre des lacets…y’aurait comme un défaut ».

    Bon.... retour sur le passé… magnéto Serge …

    Fernand RAYNAUD  est parmi les artistes comiques les plus connus en France, dans les années 1950 et 1960. Initialement homme de cabaret et de music-hall avec des sketches et des chansons, il devient une vedette nationale grâce à la télévision. Son art comique consiste à présenter des histoires drôles à base de situations quotidiennes, qui mettent en scène le Français moyen.

    Il reste dans la mémoire collective de plusieurs générations successives de Français, avec ses sketches comme Le 22 à AsnièresRestons FrançaisLe plombier et  certaines de ses expressions sont restées célèbres : « Bourreau d'enfant », « Heu-reux ! », « Y a comme un défaut », « C'est étudié pour », « Ça eût payé », « Tiens ! Voilà l'hallebardier ! », « C'est l'plombier ! », « Allô ! Tonton ? Pourquoi tu tousses ? », « Ingénieur à Grenoble ».

    Ca y est vous avez fait le rapprochement ? Pas si sûr …je vais vous développer l’histoire des oranges…pas chères.

    Le patron exploitant un banc de fruits et légumes est en grande discussion avec son employé à qui il avait demandé d e créer une pancarte pour que ses oranges soient vendues plus vite….Une pub puisqu’il faut tout vous expliquer.

    Le patron : je vends de belles oranges pas chères…pourquoi « je vends »...Vous ne les donnez-pas !

    • « de belles » : vous croyez que le client aiment les moches ?
    • « oranges »  : on voit bien que ce ne sont pas des pommes !
    • « pas chères » : faut-il le préciser…ici c’est le meilleur prix…

    Je reste en admiration devant ce sketch que j’ai simplifié au maximum pour pouvoir l’adapter à la vie courante de chacun d’entre nous.

    Le pouvoir de la suggestion

     Et si pour rendre accessible à nos neurones fatigués et à nos esprits surchargés, il suffisait d’imaginer ce que pourrait être la réalité d’une situation sans subir les coneries himalayennes de la publicité.

    « Je visualise un objet, j’accède à toutes les qualités et avantages que m’offre cet objet »

    Au moment ou  se profile à l’horizon dans  ma tête de Loup en ébullition. …STOP…le piège à con vient de faire une première victime…imagination eu grand galop...la tête de Loup : nom barbare donné à l’instrument servant à la femme de chambre pour enlever les toiles d’araignées.

    Re-STOP : Femme de chambre : Don du ciel  qui nous a débarrassé de Dominique-nique STRAUSS- KAHN .

    Et ainsi de suite...A l’ instant où mes idées vagabondent, un voile noir brouille mes yeux ébaubis

    Alors là je vous laisse en paix et ne manifeste pas l’envie de brandir un stop censeur et accusateur...N’imaginez pas : PAIX…..MANIFESTE … ENVIE… BRANDIR ….tout le parfait arsenal du vaillant petit soldat qui partirait à la guerre concernant  la loi sur le chômage ou ex-travail nommée à juste titre : la Loi  QUEL KONNERIE.

    Ce voile noir qu’agite un doux Alyzée ne semble en rien à un rideau suspendu sur la corde à linge de ma voisine, ce Belphégor venu tout droit des enfers  vient de façon soudaine mettre à mal ma théorie de l’imagination ou pouvoir de la non-création…

    De formes élancées, agréable à envisager toutes proportions gardées, correctement inscrites dans les canons d’une certaine beauté correspondant à ce que mon œil apprécie et évalue comme tiens...tiens…tiens…c’est pas un boudin…demande à voir.

     La vision de cet ectoplasme porte à ébullition ce qui me reste de neurones (encore faudrait-il vérifier la date de péremption) et remets en selle le bien fondé de ma théorie : « imagine, moi je fais le reste ».

    Par la barbe du prophète et que la vierge me patafiole...c’est une femme...en apparence et de toutes évidences…Elle crie, geste et cul,  vitupère après pépère qui se désespère de ne pouvoir la remettre à sa place avec tous les égards dus à sa qualité de femme voilée….

    Sur son front grillagé il me semble ou alors j’imagine une pancarte avec cette inscription : «  défense d’imaginer qui je suis, défense de me dévisager (c’est déjà fait je n’ai plus de visage) défense d’envisager l’avenir à venir, défense de me prendre pour une bombe (on m l’a déjà fait à Paris Bruxelles et ailleurs)

    STOP …Je n’ose plus porter à l’écran blanc de mes nuits blanches ce que mon imagination fertile pourrait créer…cette théorie est une absurdité et que deviendrait l’enfer de nos pensées devenues des réalités exposées au grand jour ? N’imaginez surtout pas la réponse car j’en cramoisi d’avance !

    Le petit’dej m’attend accompagné d’un jus d’une belle orange pas chère.

     

     

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  • Ami

     

    « L'amitié, c'est une république libre par-delà les nivellements, l'anonymat, l'égalitarisme ou l'idée de clôture frontalière. C'est le monde des amateurs de rugby, de bel canto et de tauromachie, celui des flâneurs de haute-mer et des baroudeurs, on y croise des anars en tweed ou en cote de travail, et des aristos effrontés ».

     

    Que de belles formules glanées au fil de mes errances sur les blogs.

    Cet après midi en parcourant un espace recelant de prodigieux coups de vent, de gueules, d’amitiés, d’éruptions volcaniques et d’éructions féminines foutrement bien léchées, je faisais remarquer que bien des blogueurs se retranchaient à l’abri de citations « qui tombaient à pic ».

    Ces emprunts à de grands noms (il ne faut pas oublier que se sont des gugusses comme vous et moi qui par nos acclamations font que ces « autres gugusses » deviennent des maîtres penseurs…..ce qui prouve que nous ne sommes pas capables de faire notre propre opinion !) nous fournissent les réponses toutes faites à nos états d’âme.

     

    «  MACHIN-CHOUETTE a dit que l’amitié c’est……. »

     OK c’est bien dit et cette citation est parfaitement adaptée à ce à quoi je pensais.

    Oui, mais vous et moi que pensons nous réellement de cette situation, quelle serait la vraie réponse, celle qui devrait en principe sortir de nos entrailles……notre cri du cœur en quelques sortes, que diriez-vous pour décrire l’Amitié, avec vos mots, ceux qui sortent de votre bouche tous les jours, sans emphase, sans fioriture.

     

    Ces citations toutes faites sont des boucliers qui protègent les avatars que nous sommes sur internet.

    Toujours cet anonymat qui nous permet de vivre bien au chaud à l’abri  des critiques des objections, des remarques, des remontrances et de la réprobation de celles et ceux qui vont poser leurs yeux sur notre prose.

    Autant l'amitié est belle, autant, elle peut être source de souffrances.


    Qui n'a pas été déçu des comportements d'un ami ou de celui qu'il croyait être tel Il arrive souvent de se tromper sur la nature du lien.
    L'un le considère comme son meilleur ami, alors que lui aime sa compagnie, sans plus. Il est possible d'identifier clairement le type de lien qui unit deux personnes et de se servir de critères fiables pour mieux savoir à quoi s'attendre.
    «  il faut connaître l'intention principale de ceux qui se lient ». Or il n'y a que trois motivations possibles : 

    Soit se lier pour l'aide, les services que l'un et l'autre peuvent s'apporter 

     Soit se fréquenter pour les plaisirs vécus en commun

     Soit enfin, parce qu'on a rencontré l'âme sœur. 

    S'aimer pour l'aide apportée, pour le plaisir partagé, s'aimer pour ce que nous sommes indépendamment des services et des plaisirs qui peuvent en découler. C'est la personne qui s'engage envers l'autre qui le sait ou du moins peut le savoir. Par contre, comment être sûr des intentions de l'autre ?"


    L''amitié véritable n'est possible qu'entre des êtres matures, responsables, équilibrés et généreux puisqu'elle implique une totale confiance en l'autre, un désir de vivre dans la vérité et de vouloir fermement le bien de l'autre.

     Il est évident qu'une amitié tire son nom de la motivation dominante qui unit les deux parties.
    S'il arrive souvent de se tromper sur la nature du lien, il faut d'abord s'en prendre à soi-même.

     Mea culpa ? Oui parce que nous n’avons pas fait le nécessaire pour préciser nos intentions et que par peur nous avons laissé planer le doute.

    Peur de décevoir, de se révéler au grand jour, de ne plus plaire, les excuses valables sont trop nombreuses....quoique...la peur est toujours : l'inconnu.

     

     Je cite « L'amitié véritable requiert une qualité fondamentale : l'humilité.

     L'humilité consiste à avoir suffisamment confiance en soi pour porter un regard réaliste sur sa personne : sans amoindrir ses qualités, ni gonfler ses défauts. 

    L'orgueil utilise ce stratagème pour se donner le droit de s'apitoyer sur son sort ».


    Alors là, mes cadets, là mes petits frères ce ne sont pas des paroles du Loupzen, mais elles traduisent bien ce que Canis Lupus a dans sa caboche.
    Arrêtez de me rabattre les oreilles avec vos reproches, le Loup a besoin de Liberté dans sa vie, laissez-lui le choix de ses amis et vous mes amis, pour conserver intacts ces purs instants de magie conduisant au bonheur de se retrouver, respecter ma Liberté d'aller et de venir où et quand bon me semble.

    Je présente mes excuses fortes et sincères à celles et ceux qui ont vu en moi un ami alors que je n'étais que complice de moments et d'idées à partager.



     

     

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  • QUEL BARBARE….HEIN ?   

     

     

    Ce qui arrive au « primate Des Gaules » est bien ennuyeux.

    A  t il ou pas, essayé et tenté d’étouffer le cri des victimes de ses prêtres pédophiles ? Par quels moyens ?

    Je n’ose penser que c’est en leur enfonçant un peu plus profondément le corpus delicti « au fond de leur jeune gorge leur empêchant de  crier un vade retro satana libérateur ».

    On dit de lui qu’il est discret et solitaire simple et proche des gens . Sportif….discret et solitaire comme dans ses plaisirs ?

    A l’occasion d’une conférence prononcée dans la cathédrale de Versailles le 4 janvier 2011, l’archevêque de Lyon, le cardinal prince de l’Église et primat des Gaules, s’est vanté d’avoir appris par cœur la chahâda pour la réciter au chevet des musulmans mourants. La chahâda n’est pas une phrase banale. Elle est le premier des cinq piliers de l’Islam. C’est la profession de foi qui permet de reconnaître un musulman : « Il n’est pas d’autre dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète». 

     

    Dans mes coutumes alimentaires je professe le « and chib nai kokalo » ou translation oblige « il n’y a pas d’os dans la langue ». Cette expression venue tout droit de mes fréquentations des Gens du voyage, signifie qu’il n’y a rien de blessant, de dur, dans la parole prononcée…mais quand même! il fait fort car qu’il se taise ou qu’il parle…il y a des silences qui en disent long.

    Là  il serait peut être bon de lui rappeler  à ce bon vieux « primat des gaules » en lui demandant de façon outrancière si ses protégés l’ont eu  pendant cet acte méprisable ( la gaule ).

    Personnellement cette idée me fait « dé gauler et dégueuler ».

    Quel enfant de Marie peut-il bien être pour taire les agissements de ces ministres du culte...attention je vois se pointer les jeux de mots laids pour gens bêtes ! Car il s’agit bien ici du culte.

    OPÉRATION MAINS PROPRES

    Mais une blogueuse, qui elle sait se servir de sa langue à bonne escient n’a-t-elle pas provoqué en moi cet émoi en relatant «, les évêques lancent une opération mains propres et se fixent de nouvelles conduites » ce à quoi notre blogueuse eructeuse répliquait : Tes doigts tu laisseras glisser uniquement sur le divin chapelet… » Je vous laisse imaginer.

     

     

    Vous l’avez compris, ces actes ignobles sont à mes yeux de Loup, répréhensibles et condamnables….Mais…. en recherchant bien qu’elles sont les origines de cette habitude qui pratiquée de grès à grès semble donner satisfaction aux nombreux pratiquants de cette technique placée sous les hospices de Saint CLAUDE.

     

    LA PAIX ROMAINE

    Au Ier siècle avant «  Oh, je sais, je sais  » (ou J.C) Cléopâtre fut réputée pour son tempérament luxurieux : elle était d’ailleurs surnommée la «Grande bouche» et aurait appris l’art d’aimer dans un bordel.

    - note du rédacteur : ne pas confondre avec la grande boucle...consacrée à des histoires de pédales -

     Au temps des Romains, la fellation exprime un rapport de domination entre maître et esclave, vieux et jeune, homme et femme. On peut être sucé, mais il n’y a pas de plus grande honte, de perte de virilité, que de s’abaisser à le faire.

    Nous ne sommes plus en ces temps reculés, la paix romaine est peut être remise au « gout du jour » avec son hymne ‘’ d’Annie aime les sucettes, les sucettes à l’anis’’’ et si sucer n’est pas s’abaisser ….c’est debout que ces innocentes victimes s’exécuteront.

    Et l’Eglise....à CONFESSE

     Car si en privé une  petite gâterie ne peut pas forcément faire du mâle un odieux et lubrique pervers  (là, il y a cumul des fonctions) cette pratique  peut être perçue comme un instrument de domination masculine. Oui il faut bien être en possession d’un instrument pour pouvoir s’en servir…c’est ce que j’appellerais l’effet wonder…: celle qui suce que si l’on s’en sert.

    Cette  pratique   plaît dans les sociétés patriarcales, elle est aussi le risque que l’éjaculation ne serve pas à sa cause première, la reproduction. «Jusqu’en 2003, la fellation et la sodomie, même en privé entre adultes consentants et mariés, étaient pénalisées dans plusieurs Etats américains», rappelle le philosophe Ruwen Ogien.

     La fellation n’était d’ailleurs perçue que comme une sorte de sodomie orale. Des prêtres africains ne se retrouveront donc pas aux bancs des accusés.

    .«L’onanisme proprement dit concerne toute action qui, avec la main, avec la bouche d’une femme, d’un eunuque ou d’un jeune garçon, a pour but de provoquer l’éjaculation du sperme, au détriment de l’acte naturel», est-il écrit dans Les lois secrètes de l’amour en Islam, d’Omar Haleby, publié à Istanbul au XIXe siècle.

    NA PAS PENSER AU MAL ou au MÂLE 

     Or, «l’onanisme buccal est très répandu chez les chrétiens», car ils se sont «éloignés des enseignements du prophète Jésus». L’auteur juge que ce «sont des pratiques barbares dont l’origine remonte à la nuit des temps», perpétuées par des croyants dévoyés…dévoyés mais pratiquants … ceci explique peut être la pudibonderie et l’insouciance de ces « jeunes prêtres qui ne pensaient pas à mal où à de jeunes mâles…primesautiers va !

     

    En 1893, dans un ouvrage ouvertement raciste, L’amour aux colonies, le docteur Jacobus dénonce le fait que les indigènes de Cochinchine, les Annamites, pervertissent les colons français. «Chez presque toutes les femmes et nays [des adolescents locaux, ndlr] se livrant à de telles pratiques [fellatoires], les lèvres sont généralement épaisses et déformées, surtout chez les jeunes», écrit-il.

     Et selon lui, cette fois-ci, c’est la faute des Chinois ! «Ce vice est un produit direct de la civilisation chinoise, passé dans les mœurs du peuple annamite, bien avant la conquête française. C’est le vaincu qui a corrompu l’Européen à son contact», défend-il.

    Jusqu’ où ce délice des uns et  délit des autres va t il se fourrer ….

     

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  • En ces temps de tsunami  médiatique j’ai tout comme vous succombé à la peur du lendemain.

    « Va falloir cracher au bassinet …si tu veux pas de la visite des fils de pub sur ton blog ».

    Une levée de boucliers a fait suite à cette menace et dans les jours qui suivirent une formidable tempête  a eu lieu dans…..mon lavabo !

    Moi le zen-Loup j’ai fourbi mes armes, postant sous d’autres cieux ma colère à l’en contre des valets du Grand Capital…

    Je pense que mes colériques coliques ont ébranlé  le voisin qui vient de perdre son emploi et par le fait même va creuser un piège à con pour que le facteur qui demain apportera les lettres des huissiers, tombe au fond.

    Il va sans dire que mes  légitimes plaintes recevront l’accueil qu’elles méritent chez le couple » d’à coté » faisant passer au second plan le compte rendu du pédiatre leur annonçant que le « petit benjamin souffre d’une malformation cardiaque ».

    Mes jérémiades trouveront-elles meilleures oreilles chez cette « petite blondinette » qui, je ne sais pas pourquoi se maquille comme une voiture volée….et cela arrive souvent quand son « petit ami » transforme leur chambre en ring de boxe !

    Je n’ose demander à « ma famille » de « sans dents » leur opinion sur ma tragédie de victime du système…eux qui sont la cible privilégiée des gens biens et des nantis à la carte bleue reconnaissables au doigt pointé et accusateur les désignant comme étant les responsables du « bordel dans notre beau pays » ….eux qui ont appris la fermeture de leurs usines…ben oui il faut bien que les petits chinois ils mangent….

    J’ai honte de me plaindre mais pas d’enfoncer mes crocs dans le cul des locdus de la finance et du profit à outrance.

    Dans l’annonce de la fin je retrouve une consonance qui tintinnabule à mes oreilles de canis lupus.

    Ce doux bruit me ferait presque gargouiller mes entrailles : JE VAIS AVOIR FAIM et VIVE LA FIN.

    Tout au long de ma route je compte plus les : émeutiers, les contestataire, les désobéissants, les dissidents, les excitateurs, les factieux, les hérétiques, les indignés, les indisciplinés, les insoumis, les mutins ainsi que les outrés et provocateurs récalcitrants réfractaires et rebelles qui sont scandalisés.

    Tous ces révoltés du Bounty (barre chocolatée à base de noix de cul-cul)qui lèvent le poing et aboient de loin, paieront leur dîme au grand fornicateur qu’ils ont élu …il faut bien se plaindre pour exister et comme on est jamais si bien servi que par soi-même, ils « s’auto fisteront » en cœur joie reprenant leur credo : je continue à me taper sur les doigts car lorsque j’arrête..Cela me fait du bien »…va comprendre ce qui se passe chez les humains.

    La fin ou l’arrêt d ’une époque, d’un système me donne FAIM…..C’est toutes babines dehors et crocs impeccablement astiqués que je vais reprendre la route…pas de doutes il y aura bien quelque chose à me mettre sous la dent.

    Par amitié et parce que vous êtes des gens bien, des gens ordinaires mais qui avez eu des vies extraordinaires…ne baissez pas les bras et ne permettez jamais, jamais, jamais qu’un autre vous brise vos rêves.

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  •  

    ..Ou pour les français que nous sommes «  reprendre la route ».

    Comme annoncé par notre grand Timonier dans ses previsions  de grand chambardement, le changement c’est tout de suite et bientôt.

    Attiré par ce blog qui fut un temps un phare à éclats comme beaucoup de papillons de nuit, j’ai profité des lumières et des services d’EKLA BLOG.

    Mais en ce bas monde les plus belles choses volent en éclats, il en est ainsi des amours et des amitiés, des promesses  et des «  nous jamais », des « je ne mange pas de ce pain là ».

     Pourtant ce pain béni est devenu une tartine de merde que certains de nos dirigeants vont nous faire déguster à la petite cuillère pour que le supplice dure plus longtemps.

    Notre « guide suprême »doit l’avoir mauvaise, il doit à cette heure avaler des couleuvres grosses comme des bras.

    Hâtons nous de ne pas le blâmer, il fait partie d’un complexe système de machine à sous, machines dans lesquelles il a mis le doigt, puis, le poignet et alouette gentille alouette…il s’est fait plumer et nous aussi….

    Nos écrits apparaîtront bientôt entre une pub pour de la vaseline :

    bien pratique pour ce que nous allons devoir subir

    une pub pour faciliter le transite intestinal :

    bien pratique pour ce que nous allons en caguer

    une pub pour faciliter le changement d’odeur : 

    Je vous laisse votre libre arbitre pour choisir à quoi cela va-t-il bien pouvoir vous servir….profitez en bien votre liberté fond comme neige au soleil 

    Il y'a ceux qui resteront et ceux qui feront semblant de partir ou des rester.

    Pour ma part je ne suis pas étonné par cette avarie, puisque ce monde actuel fait l’apologie du mensonge, de la bassesse des individus (gouvernant et manants), de nos travers de porcs, il fallait bien que la saleté envahisse notre petit monde…ainsi va la fin.

    Que de souvenirs vont occuper nos longues soirées d’hivers….j’en frémi par avance….de colère, de désespoir et d’amertume.

    Voilà, bientôt, je reprendrais la route sans haine, sans esprit de vengeance mais en ayant la certitude que nous nous reverrons un jour ou l'autre, nous les victimes du Dieu : PROFIT.

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  •  

     

    Dans une autre vie je fréquentais un milieu religieux dans lequel, les chefs  pouvaient avoir femme et enfants les rendant ainsi capables par expériences de parler à leurs ouailles des joies et tourments de la famille.

    Un des pasteurs avec lequel j’ai participé à des  travaux d’interprétation de la bible, transportait allègrement ses 75 ans sur un vélo, de jour comme de nuit qu’il pleuve où qu’il vente, hiver comme été.

    Religieux tout terrain, il visitait les Gens du Voyage entre autre et participait très activement aux démarches d’intégration d’étrangers sur le sol français.

    J’ai la sainte (je suis raccord !) horreur du prosélytisme et ce grand homme l’ayant subodoré me fichait une paix royale.

    Très souvent, questionné par des adeptes qui croyaient (c’est la moindre des choses grand Dieu !) qu’il suffisait d’ânonner une prière pour pouvoir traverser la rue sans se faire renverser,  pourvu que la foi les transporte !

    Il avait cette explication que je vous livre et qui me transporte d’allégresse suite à ma foi et à mes faiblesses.

    « Chaque matin que Dieu fait, au petit déjeuner, je nourris ma foi avec un bon kilo de doutes ».

    Cet homme ministre du culte, enseignant et responsable du devenir des âmes d’un troupeau considérable d’ouailles, confessait qu’il avait foi en la parole de Dieu et que le fait de douter l’obligeait à chercher et à trouver des réponses à ses questions. C’est cette honnêteté qui me plait chez l’Homme.

     

    QUAND LE DOUTE EST PERMIS

    ..il s’installe avec ou sans votre permission et le mettre à la porte équivaut à renvoyer un défenseur de la Tour de Garde qui s’introduit par la fenêtre alors que votre porte a été claquée au nez et à la barbe de son prophète.

    « Dans le doute abstiens-toi ».Jolie formule pour celles et ceux qui comptent sur les autres pour évoluer alors qu’il leur a été enseigné « aide toi et le Ciel t’aidera ».

    Ce doute a pour compagne la PEUR.

    Si vous doutez de vous et que vous ayez peur que les autres se rendent compte qu’en fait vous n’êtes pas compétent dans votre vie et que vos réussites sont des purs coups de chance, un jour ou l’autre un salopard va mettre à profit vos incertitudes pour vous annexer façon  «'Anschluss, » vous dépendrez de son plan.

    Je vous dédicace à Vous chercheur de l’impossible (c'est-à-dire chercheur de l’excuse pour ne pas faire…nuance) cet exercice que j’ai honteusement copié sur le net en ajoutant mon grain de sel.

     

    • C’était quand la dernière fois que vous avez ressenti de la fierté pour quelque chose que vous avez réussi, réalisé, entrepris ?

    Si la réponse à cette question est « Heu? » ou « Houlà, je ne sais pas ! » ou « Jamais ! » ou encore « Je ne m’en souviens plus », vous êtes sur la bonne voie pour répondre oui à la question « Souffrez-vous du syndrome de l’imposteur ? »

    • À quoi attribuez-vous vos réussites ?

    Au hasard ? À la chance ? Aux autres et à leur gentillesse. Mais en tout cas jamais, ou rarement, à vos compétences. Comme si le monde dans lequel  vous végétez était celui des Bisounours , des gentils dauphins et des Loups nourris au suc Candy….Va falloir vous réveiller !

    •  Acceptez-vous facilement les compliments ?

    Avez-vous tendance à dire merci aux compliments que vous recevez ou plutôt à justifier par une réponse comme « Oh tu sais, pour moi c’est facile », « Je l’ai acheté pas cher », « Je n’y suis pas pour grand-chose » ou autre variante du genre.

     Vous ressemblerez à un shamallow tenu par un « bon petit diable » enfourché sur une brochette e t tournant lentement, très lentement sur un feu de bois pour que le supplice soit long très long…à moins que vous n’appréciez les suppositoires à la « nitroglycérine » et au bois de cèdre !

    Si vous choisissez la deuxième option, encore une fois, il y a des chances que vous souffriez du syndrome de l’imposteur.

     

    KESACO ?....

    Ce n’est pas moi c’est l’autre.

    Dans le cas de l’enfant qui vient de faire « the boulette », du chat qui a encore la queue du poisson qui frétille dans sa belle gueule d’innocent ou de votre conjoint préféré trouvé allongé prés du corps frétillant avec la queue….zut je me suis trompé ! Enfin vous avez compris le sens de la démarche, puisque à votre tour vous alliez commettre l’injustice qui mène un innocent les mains pleines directement au poteau….on peut l’admettre.

    Mais ce symptôme vous empêche de récolter les fruits et de porter les lauriers qui vous reviennent de droit à la suite d’une réussite si minime soit-elle.
    « cette attitude qui est peut être la votre  est en fait une forme de doute constant qui consiste à attribuer ses réussites, son évolution, ses accomplissements à tout et tout le monde, sauf à soi » je l'ai cité.

     

    VOUS SAVEZ QUOI ?

    J’ai un aveu à vous faire…je n’ai pas souvent fréquenté la communale, trop occupé par ailleurs à écouter le chant des oiseaux, à attendre un lever de soleil comme si c’était un lever de rideau considérant que la journée qui commençait allait être une pièce de théâtre.

    Le peu de savoir que je trimbale dans ma tête c’est du vécu, de l’artisanat, du chef d’œuvre, des ampoules, des estafilades, j’en passe et des ….à mettre ailleurs.

    C’est au travers de lectures, de conférences, de vos blogs que je réussi à écrire ce que je publie.

    Et c’est là,  le hic !

    Faut-il tout savoir pour être compétant ? Et si comme ce bon pasteur (début de ce post) mes lacunes me servaient à gratter un peu plus pour apprendre ? Si mes doutes me donnaient à la fois le courage et la foi dans ce que je publie.

     

    GARÇON….2 CAFÉS et l' ADDITION

     

    Je prends conscience que mon manque de connaissances et de compétences font que je « bosse comme un turc » (en rapport avec la Bosphore !) sur mes sujets et que le regard bienveillant des autres ( de Vous ) vos compliments et commentaires agréables me donnent cette sensation de ne plus être assis à coté du radiateur.

    Vous me faites devenir un doué qui célèbre ses réussites et  en votre compagnie je les savoure.

    Je termine en vous disant que le doute en lui-même n’ai pas si terrible que cela, il peut être le point de départ d’une grande aventure comme celle que j’ai vécue à vos cotés.

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  • Sur le canevas de Cyrano de Bergerac, de ce bretteur d’Edmond ROSTAND, j'ai honteusement plagié cette prose tout en sachant qu’à vos critiques je m’expose.

    J’explose ou j’implose …..de lire vos commentaires encore je n’ose.

    LE BRET :
     Si tu laissais un peu ton mordant aux vestiaires,

     La fortune et la gloire te font défaut sur cette terre,

     Aux orties il te faut mettre ta rapière et baisser ton pavillon pour avoir une allure moins fière
     LE LOUP :

                       Et que faudrait-il faire ? 


     -   Chercher un protecteur puissant ? 
    J'avais un patron dont le seul rôle était d’engranger des bénéfices  et voulant se faire passer pour un daron m'avait appelé son fils,  

    Plongé dans les délices de Capoue, tout comme Hannibal il avait nommé son entreprise « Ben & Fils »

    Confondant ainsi  nombrilisme et touché rectal.

    Non merci : le seul trou que j'accepte de creuser est celui de la sécurité sociale.

    -   Déclamer tous les jours des vers en guise de gratitude, à un banquier usurier et charognard ?

    Qui pour m’avoir prêté ce qu’il faut pour acheter des mouchoirs, se croirait propriétaire de mon âme et s’offrirait le ventre de ma femme pour faire des batards.

    Pour collet une écharpe au tour du cou j’offrirais à  ce banquier trop bien nourri qui prenait plaisir à rejeter mes projets,

    Doucement sur le filet je tirerais, le faisant suffoquer comme il le fît à son client par le monde du travail rejeté.

    Non merci : le seul banquier à qui j'ai dit merci fut celui qui dans une éprouvette a recueilli un jour une bien riche  pitance en guise de semence. Banque du sperme pour seule enseigne sur son mur il avait affiché !

    -   Me changer un soir en bouffon, esquisser une série de grimaces à l’annonce d’un bon mot ou d’une citation ?

     Espérant en secret obtenir d'une quelconque Ninon, le plaisir de reluquer le lustre d’une paire de fesses et faire de ses rondeurs un éternel renom.

     Non merci : d'une main flatteuse se voulant aventureuse, je réserve la mienne pour dessiner dans le noir la forme d'un corps ressemblant à une poire,

     Fruit défendu, abricot fendu qu’est celui de ma belle et que l'Amour a pourvu.

     

     -   Avoir pour accessoire un colossal encensoir, l'éventer en le poussant de giron en giron au centre d’un cercle fermé en forme de trou noir ?

    Devenir un grand gnome  en payant très  cher un éditeur à qui je reverserais 30 deniers,

    Prix d’une trahison envers mes idées que je n’aurais plus le courage d’étaler,

     De quoi le gaver de caviar alors qu’il ne me resterait tout juste de quoi me payer l’alcool qui me ferait oublier ce que je suis devenu, homme de paille d’un trou du cul.

    -   Être terroriser par les critiques de vagues gazettes et se dire sans cesse il faut que je sois dans ces petits papiers ?  Me battre contre des moulins à vent n'est vraiment pas ma quête et préfère renoncer à voir mes écrits publiés

     Non merci : c’est chez le Maître Pierre qui pareil à Montesquieu affirmait déjà, que «le pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument » que j'irais porter mes lettres.

     Après avoir bu, nous chanterons de paillardes romances  de celles qui font peur aux nonnettes puis à l’appel du grand Jacques nous briserons nos verres pour apporter le silence

     J’écris pour ne pas assassiner ! Voyez combien la littérature adoucit les mœurs ! Alors tirons chaque mot  à bout portant, comme une mise à mort.

    -   Faire partie d'un sérail et avoir pour compagnons de fieffées canailles qui sentant venir l'heure de la distribution de mouron ont vendu leurs âmes et prêté leurs épées à l'ignoble racaille?

     Hurlant dans nos villes en mettant à sac nos maisons, spadassins d'un tribun qui pratique l'art du mensonge semblable à un odontologue prétextant qu'il est bon de nous mettre à genou pour se transformer en proctologue.

     Non merci : ce serait me trahir et vendre les miens, si pour une poignée de mains je pactisais avec ces gueux,

     Je recevrais pour régler mon forfait ce que ce pauvre Judas dû endurer et ce n’est pas cher payé,  Dans sa tombe il doit se retourner les temps ont bien changé, le cours du bulletin de vote s'est envolé.

    Je rends grâce à l’auteur :
     Non, merci : mais... chanter,
     Rêver, rire, passer, être seul, être libre,
     Avoir l'œil qui regarde bien, la voix qui vibre,
     Pour un oui, pour un non, se battre,
     Travailler sans souci de gloire ou de fortune,
     À tel voyage, auquel on pense, dans la lune !

     

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    Mon Amour

     

     

    Mon Amour…..

     Tu es mon amour à moi et rien qu’à moi…..et de cette prison dorée tu ne pourras t’escamper.

    C’est là que le bat blesse.

    Petit cours d’ânerie dont je suis le maître…

     Je cite : « L’expression fait référence aux bâts que l’on posait sur le dos des mulets et sur lesquels on accrochait les charges qu’ils transportaient. Ainsi, les bêtes dont le bât était mal fixé ou trop chargé avaient des plaies qui les faisaient souffrir. Dire "C’est là que le bât blesse" revient donc à dire que l’on a trouvé la cause d’une souffrance (psychologique en général), ou le point sensible d’une personne. ».

     ….ainsi, les bêtes de somme….trop chargées…souffrent de la possession ….trop et mal aimées.

    Je cite :

    « Arrêter de posséder, aimer en restant libre sans exercer de pressions sur l’autre, est la clé de l’évolution d’un couple, mais également de tout un chacun. » – Paulo Coelho –

    Pour la majeure partie d’entre Nous,  l’Amour est une succession de luttes, de sacrifices et de concessions pour le salut du couple.

    Ce bien-être visible  étalé à la vue de tous n’est qu’illusoire. Il faut montrer aux autres que « moi çà va ….et  l’Autre aussi ».

    Cet Autre qu’en pense t il ? Cette prison dorée dont il a fait de lui-même son propre geôlier a-t-il le désir coupable  et la tentation de s’enfuir ?

    La liberté n’existe que lorsque l’amour est là. Celui qui se donne totalement, qui se sent libre, aime infiniment. Et celui qui aime infiniment se sent libre.  En amour, personne ne peut écraser l’autre.

    Mon  expérience de la liberté :

    avoir la plus belle, la plus importante, la plus rare et la plus chère  chose au monde, sans la posséder….mais toujours et sans cesse la chercher.

    Cette liberté n’est surtout pas, en ce qui me concerne, le luxe de l’égoïsme mais j’ai souvent cherché chez les autres un complément à mes manques  oubliant que je devais mon salut qu’à moi même

    L’amour n’est pas chez l’autre, mais en nous-mêmes  c’est là que débute la relation dans un couple pour qu’il dure.

    Au commencement il y avait « une toi »  « un moi » et de la passion.

    Ce trio infernalement paradisiaque n’a pu chevaucher qu’à la condition qu’aucun des deux cavaliers ne tirent à hue et à dia.

    La bride sur le cou, flottant au gré du vent léger, sans contraintes, sans barreaux barrant la vue d’un horizon que nous désirions atteindre à deux avec seul carburant : la passion.

    Cette passion combien d’entre Vous  l’ont détestée car cet état bouleverse totalement leur univers, vous retrouvez face à face avec l'Inconnu.

     

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    « Dieu n'avait fait que l'eau, l'homme a fait le vin » Victor Hugo

    Ma première rencontre avec le vin, remonte à bien à bien des années. J’en ai des souvenirs quasiment mystiques.

    Mon père entretenait une vigne en Auvergne et nous faisait partager les travaux pour qu’en Septembre, en période de rentrée des classes, nous jouissions de la récompense que nous offrait une année de labeur.

    J’ai souvenance des préparatifs de la veille et de l’avant-veille, l’odeur de la futaille, les bruits de la pierre qui aiguise les couteaux, le grondement des bacholles que l’on traîne sur le sol pour être chargées sur le plateau du camion.

    Les amis de voisins et les voisins qui furent des amis apportaient par leur présence l’idée que je me faisais alors de  ce que devait être un soir ou de leur morne existence ils passeraient à l’éclatante lumière d’un coup demain  des maquisards.

    J’ai une expression qui caractérise ce moment  chargé de secrets, de couleurs, d’odeurs et d’émotions :

    c’est une communion entre la Nature et l’Homme.

    Les vendanges ne peuvent être qu’un acte d ‘amour durant lequel Dame nature offre à ses plus virils conquérants le fruit de ses entrailles sublimé par ce don sacrifice.

    Le vin appartient à la catégorie des « boissons d'alliance », considérées comme le résultat d’une alchimie divine permettant à l’Homme et à sa triste terrestréité de s’élever au niveau des Dieux

    En alchimie il pourrait s’agir de l'action du Soufre sur le Mercure, c'est-à-dire du Ciel sur la Terre.

    Le Vin assure le lien entre les Dieux et les hommes, mais aussi les liens entre les hommes eux même durant ce moment magique où ces compagnons reçoivent des mains de la Terre-Mère ce nectar qui était destiné aux Dieux.

    Ce qu’il aura été nécessaire de couper  les sarments de la vigne, rabattant  ces bras chargés de promesses en la production de grappes de raisin, ce qu’il aura fallu de sueur et de soif pour permettre à  ce nouveau né de plant de vigne de porter à bout de bras la promesse d’une bonne récolte.

     L’homme, les éléments et la nature en étroite communion pour qu’enfin la transformation chimique et magique nous révèle ce grand cru ou cette innommable piquette…qu’importe les efforts ont été semblables et dans le cœur du vigneron le calice empli de ce jus de treille, levé à bout de bras me faisait penser au prêtre qui le dimanche élevait le ciboire pour l’offrir à son Dieu  dans l’attente d’être sanctifié.

    Tous les symboles sont déjà là, fécondité, mort, et entre deux, plaisir, vérité, philosophie, folie. Depuis la nuit des temps, le vin réjouit notre être, source de vie, il exalte les passions des hommes, et adoucit ses peines 

    Je cite :

    - « Le vin est associé à autant de Dieux et de mythes.La déesse sumérienne Gesthin associe le vin à la mère, source de vie."

     L’arbre de vie et la vigne sont donc étroitement liés.

    - « En Egypte, Osiris qui règne sur le monde des morts est aussi Dieu du vin. »
    Après la vie, le vin devient étroitement lié à la mort : la vie, l’ivresse, la mort.

     

    - « Chez les Grecs, le symbole s’étend encore, Dionysos, Dieu de la vigne et du vin est aussi Dieu de la folie. Les grecs apprendront à  gérer ce vin folie vérité par des règles de savoir boire »

     Comment concilier in vino veritas et les discussions philosophiques…..Précurseurs des radio-bistrots ?

    - « Chez les Romains, il devient Bacchus, entre les fêtes, la débauche et l’orgie ».

    Le but du vin est de nous aider dans la manifestation de l’esprit. L’alcool ne se dit-il pas “Spirit” en Anglais et en France, ne dit-on pas “Vins et Spiritueux” ? Être spirituel peut signifier à la fois avoir un profond sentiment religieux, ou faire de l’humour

     « Un homme qui ne boit que de l'eau a des secrets à cacher à ses semblables ».

    En conclusion je dirai que de toutes les substances consommables, le vin est la seule à entretenir un rapport privilégié avec la parole. On parle souvent d’un vin d’honneur, d'’un vin de messe, d’un nectar des Dieux, d’un vin d’amitié.

     

    Les trois couleurs du drapeau

     - Le vin rouge est, lui plus encore, le vin central et premier.
    Symbole de vérité, pure, directe, c’est lui qui donne la base de la philosophie du vin. Il nous conduit vers la libération totale.

    Il a des vertus médicinales, il fait baisser le risque cardio-vasculaire, cérébro-vasculaire, et de cancer, le tout à doses raisonnables, un demi-litre par jour.

     - Le vin blanc attirera plutôt la part féminine de chacun. Il sera recherché par les femmes dominantes, ou souhaitant l’être, et les hommes au féminin dominant.
    Enfin il est relié avec toutes les mémoires de conflits avec la mère : le jeu Féminin- dominant, féminin-dominé.

    Ne dit-on pas qu’il faut les consommer avec les “fruits de mer“. ?
    Ce sont des vins très soufrés et ayant la capacité de réactiver toutes les pathologies inflammatoires chroniques (les colères rentrées). Ils sont souvent plus difficiles à digérer

     - Le vin rosé, ou “mettre de l’eau dans son vin”.
    Il nous évoque l’art du compromis que vous aimez  ou que vous avez besoin de travailler.  Et si vous ne le digérez  pas, demandez-vous si vous acceptez facilement les compromis ou, si à l‘inverse, vous n’en avez pas trop fait.

     

    Le vin mène parfois au divin gardons nous de trop en abuser,

     Car nous comparer au Dieu pourrait nous enivrer,

     Et gare à la chute,

    De ce nectar je n'en boirais qu’une flûte !

     

    Et çà, c'est de moi et à cette heure ci je n'avais rien bu !

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    Il y a des jours avec et des jours sans.

    Au jour d’aujourd’hui, c’est clair comme de l’eau de roche, il y a de l’eau dans le gaz (de schiste bien sûr !) c’est décidé je me jette à l’eau.

    Il en passera de l’eau sous les ponts avant que je prophétise « fontaine je ne boirai pas de ton eau ».

    A cette affirmation qui révèle qu’il faut se méfier de l’eau qui dort,  je crie « eau » et fort  et m’engage à tenir cette promesse : qui a bu boira ! Et qui boira verra (comme on dit en Bretagne pays des cochons bien français)

    Ce serait de ma part comme un coup d’épée dans l’eau  que de croire que tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse.

    Ne sachant  pas naviguer en eau trouble et comme je n’ai pas inventé l’eau chaude je ne jetterai pas le bébé avec l’eau du bain de peur de provoquer une tempête dans un verre d’eau !

    (Dans la péninsule Ibére-Hic…pays où l’eau et le vin ne font pas si bon ménage que cela, il est dit : tirar el nino com el agua del bano…..mais comme le disait «  Prudencia » la bonne espagnole : il faut se méfier de l’eau qui dort !).

    Mes prises de position ressemblent à des gouttes d’eau dans un océan d’incompréhension. Etre ou ne pas être comme le feu et l’eau ?  Il y a de l’eau dans le vin quant à cette incompatibilité d’humeur.

    Mais à défaut de me noyer dans un verre d’eau et de se retrouver le bec dans l’eau, je me tournerai vers ce génie qui était « B’eau de l’Air »

    Le vin des amants

    Aujourd'hui l'espace est splendide !
    Sans mors, sans éperons, sans bride,
    Partons à cheval sur le vin
    Pour un ciel féerique et divin !

    Comme deux anges que torture
    Une implacable calenture,
    Dans le bleu cristal du matin
    Suivons le mirage lointain !

    Mollement balancés sur l'aile
    Du tourbillon intelligent,
    Dans un délire parallèle,

    Ma sœur, côte à côte nageant,
    Nous fuirons sans repos ni trêves
    Vers le paradis de mes rêves !

     

     

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    En quelques clics, des amis du web, m’ont fait passer de vie à trépas.

    Finis les loup-foqueries désopilantes, les lycanthropes de tous poils, les Loups GAROU de the voice,  la bienvenue  à une race hybride de Loupzen.

    Voici qui je pourrais bien être ou d’après certains, ce à quoi je pourrais bien ressembler :

    • Un OBJET LITTÉRAIRE NON IDENTIFIE
    • Un ESPRIT TERRIEN PARFAITEMENT IDENTIFIE
    • Une Sérendipité ou Découverte Accidentelle Non Prévue au Programme

    Puisque il  faut que je justifie  de ces nouvelles appellations incontrôlables, je vous livre leurs origines et c’est avec gratitude que je remercie les auteurs :

    Esprit terrien parfaitement identifié.

    « Le parcours réussit d'un homme sain, qui s'inscrit dans le désir ardent de rester libre. Envers et contre tous les bonimenteurs qui insultent le citoyen, rapetissé par des individus aussi vaniteux que trop payés ! ».

    • C’est un style franc direct qui correspond parfaitement à ce que j’aurais aimé être la liberté étant mon fond de commerce…..mais vous ne trouverez jamais parmi les marchands du Temple.

    Objet Littéraire Non Identifié : (le Gaulois nomade, maison d’édition)


    « Ça dépèce, ça coupe, ça tranche, ça cuit, ça mijote, ça rôtit à toutes les pages avec humour, pétillance et charme : bienvenue dans cet OLNI (Objet Littéraire Non Identifié) qui ne se contente point d'énoncer des recettes mais ajoute une bonne dose d'histoire et d'anecdotes sur les gens du voyage. Une lecture joviale et saine, à mettre en toutes les mains »

     

    -         Ben çà mes cadets, çà mes p’tits frères en voilà une qui a tout compris !

    Elle m’épate cette Américano-Auvergnate. L’appellation de cette éditrice me flatte car elle confirme mon attachement pour le non conformisme dont je suis gratifié. Etre différent, surfer sur une crête de vague, partir à la recherche du « hors cadre », funambuler au dessus du vulgum pecus, tutoyer les Dieux et partager la maraude en compagnie des gueux….

    Sérendipité :

    « La vraie sérendipité, celle de la découverte accidentelle de quelque chose que l'on ne cherchait pas particulièrement, sinon pas du tout. »

     

     Bizarre... bizarre...
    - Loupzen 
    : Qu’est-ce qu'il a mon blog ?
    -La Blogeuse :
    Comment ?

    -Loupzen : Vous regardez mon blog et vous dites « Bizarre, bizarre »...
    -La bLogeuse :
    Moi j'ai dit « Bizarre, bizarre »... Comme c'est étrange... Pourquoi aurais-je dit « Bizarre, bizarre » ?
    -LOUPZEN :
    Je vous assure, chère Blogeuse, que vous avez dit « Bizarre, bizarre ».
    -La Blogeuse :
    Moi j'ai dit « Bizarre »... Comme c'est bizarre j’aurais dit Sérendipité vous m’en voyez dépitée !

    Loupzen : et moi vous me trouvez ravi !

    (honteusement copié à drôle de drame - Louis JOUVET-)

    La vraie sérendipité, celle où l'on trouve quelque chose alors que l'on ne cherchait rien, celle où l'on trouve par hasard l’idée de ce que l'on ne cherche pas

    Un bon exemple en est la découverte des crochets de bardane qui, en s'accrochant malencontreusement aux poils de son chien lors de ses promenades, ont conduit George de Mestral à inventer le Velcro.

    Deux autres bons exemples sont celui du Téflon et celui du Post-it...

    Il existe quatre catégories dans cet état de fait :

    1. la métaphore qui inspire la solution ;
    2. la métaphore inattendue qui conduit à un nouveau problème puis à une nouvelle solution ;
    3. l'absence de métaphore qui impose un pragmatisme, un problème trouve écho à un autre problème et propose ainsi une nouvelle solution ;
    4. la métaphore de l’ignorance qui introduit l'erreur dans le contexte de la description du problème, implique un nouveau problème, puis une nouvelle solution.

    Ca c’est too much car c’est tout Mol

    Quelques exemples qui me parlent et pourquoi pas, pourraient être flatteurs :

     La découverte de l'Amérique par les Européens : cherchant une route maritime par l'ouest vers les Indes, les navigateurs trouvent un continent qui leur était inconnu.

    - La découverte de la pénicilline : par Alexander Fleming découvre une moisissure qui a contaminé sa culture de staphylocoques, éliminant ceux-ci de la zone quelle occupe.

               - Le Viagra  bon celui là...Euh… c’est un exemple et rien d’autre !

               - Un Loup pouvant en cacher un autre : découverte par EKLABLOG, un drôle d’animal, voulant rester zen mais qui n’y parvient pas toujours.

                 Cette découverte allait bouleverser son auteur.

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    S'il te plait...

     

    En préambule une citation de Bernanos : "Nous nous faisons généralement de la prière une si absurde idée ! Comment ceux qui ne la connaissent guère – peu ou pas – osent-ils en parler avec tant de légèreté ? »

     C’est un acte codifié ou non, collectif ou individuel, par lequel une requête est adressée à Dieu ou à une divinité ou à un être désigné comme médiateur de Dieu ou de la divinité. Trois  types de prières existent :

    • la prière d'intercession (pour demander un bienfait pour quelqu'un ou soi-même),
    • la prière de confession,
    • La prière de gratitude.

     Toutes demandes, suppliques formulées à haute voix ou dans le secret de son Intérieur le sont dans quel but et à l'intention de quel magicien ?

     A qui vous adressez-vous lorsque vous avez les yeux tournés en direction du strato-cumulus de passage si vous n'êtes pas un sorcier faiseur de pluie.

    Qui implorez-vous pour que ce foutu nuage s’en aille sous d’autres cieux arroser un pauvre innocent qui comme vous organise un BBQ ?

     Vers quelles forces mystérieuses dirigez-vous vos pensées pour que les bons numéros du loto soient ceux qui regroupent les dates de naissance de vos enfants, les plaques minéralogiques de vos quatre dernières voitures et l’anniversaires de la mort de votre Belle-mère ?

    Quel salopard de génie allez-vous invoquer pour que ce job vous soit accordé, alors que l'autre blaireau (concurrent en diable) verra sa maison saisie, s'il n'a pas ce travail.

    Savez-vous que votre  femme astique à votre insu,  une lampe à huile du genre «  beau brun bodybuildé » en priant que le génie qui l'habite (en respectant l’orthographe) ne connaisse pas une panne de forme ?

    Vous voilà sur les rotules, la tête baisée comme si vous recherchiez  un billet de 500 euros, en vous frappant la poitrine en psalmodiant vers un répondeur enregistreur anonyme «  oui, c’est moi…c’est bien moi, l’enfoiré qui ai balancé à son mari, ma voisine qui refusait de faire d’elle ma Valentine…et oui c’est moi…toujours moi, le fils de p….qui a tagué sur sa façade toute fraiche de crépis « il a voté LEPEN » par dépit.

    « Les yeux tournés vers le ciel, à genoux le petit enfant » que vous êtes resté depuis tout ce temps où, rempli de gratitude vous formuliez « Merci, merci mon bon maitre…merci de m’avoir donné cet vivacité d’esprit, cet facilité du réparti, cet aisance à parler de tout quand je n’y connaissais rien, ce charisme …mais alors pourquoi suis-je encore seul ? AH…merci mon bon maitre c’est pour ne pas faire chier les autres ! »

     Si vous croyez, quand cela vous arrange, en les pouvoirs d’un superman ayant élu domicile quelque part dans les cieux, je vais vous délivrer huit conseils qui pourraient vous aider à mieux comprendre ce que devrait être cette communication.

     Laissez libre cours à votre imagination.... Vous avez une demande à faire parvenir  je vous révèle le mode d’emploi :

     Choisir le bon code régional

    Une conversation n'est pas un monologue,

    Ne parlez pas sans arrêt mais écoutez celui qui parle au bout du fil ,

     Si la communication est interrompue, vérifier qui a rompu le contact : Dieu ou vous ?,

     Ne pas prendre l'habitude d'appeler Dieu uniquement en cas d'urgence,

     Ne pas téléphoner à Dieu seulement aux heures de tarifs réduits, c'est à dire en fin de semaine, un appel même court devrait être possible régulièrement,

    Prendre note que les appels auprès de Dieu sont sans frais,

     Ne pas oublier de rappeler Dieu qui laisse sans arrêt des messages sur votre répondeur mais que vous n’écoutez jamais,

     Avec de l’entraînement, la sonnerie spéciale de Dieu vous deviendra familière.

    N'oubliez pas un détail important, « Cet interlocuteur » quel que soit le nom que vous lui donnez est votre interlocuteur privilégié, il ne peut y avoir de la friture sur la ligne, ni même de «  grandes oreilles »  qui vous écoutent ….. C’est une affaire personnelle entre Vous et....Vous. 

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    Priapisme intellectuel

    Je m’étais bien juré de ne pas  publier cet article. J’ai succombé à  mon humeur chagrine, je suis de mauvais poils !

    Voulant paraitre et passer pour un être civilisé, je suis présent dans ce que Pierre CLAUSTERMAN aurait nommé « le grand cirque ».

    Surfant  (je trouve que cette idée de surfer fait  plus jeune) sur une hypothétique vague de considérations, il me faut sans cesse chercher la crête.

    Au sommet de cet Annapurna médiatique où se rencontrent « les m’as-tu vu » ou plus précisément « les m’as-tu lu » l’addiction a refermé son piège sur moi….il faut dire que cette chausse-trappe n’a pas eu beaucoup d’efforts à tenter vu que je suis assez grand et con pour me prendre les pieds dans le tapis tout seul.

    Je vais donc entrer dans le sujet délicat suivant :

    « Chose, Machin et Truc ont attribué un +1 à votre commentaire ».

    Pris d’un vertige de bien être, mêlant appréhension, décharge d’adrénaline et  malsaine curiosité, je pousse la porte de cette maison close qui affiche  une enseigne alléchante portant  cloche blanche sur fond noir. « NOTIFICATION GOOGLE + ».

    Le fait de pousser d’un clic de souris  la porte du salon de cette maison de passes provoque chez moi une folle et symptomatique érection.

    A contrario, un vide béant s’offre à moi lorsque « ma pole-danse » n’est pas au rendez-vous…..           A  t’elle était déçue par ma prestation…  les rôles sont alors inversés.

    Qu’en est-il réellement de ces marques de passages dans nos vies, Je me suis offert le doute, ainsi n’aura-t-il pas besoin  de ma permission pour s’installer. Etant de nature chafouine et portant en moi les estafilades d’amitiés sincères  dont les auteurs étaient francs comme un âne qui recule,  j’ai mis en place un piège satanique…nique…nique.

    J’ai écris un sujet sur mon blog et sans l’avoir achevé j’ai posté cet embryon sur GOOGLE + déclenchant des notifications en provenance des cercles et leurs extensions.

    J’en déduis que le fait de cliquer d’un coup de souris sur une parution reste un geste de tireur-snipper comptabilisant un « one shot ».

    Ou est la part de réalité et de sincérité : je t’attribue une visite pour que tu me renvoies l’ascenseur.

    Ne soyons pas dupes, le toc-toc  en forme de carte de visite laissé par « les visiteurs d’un soir » dans nos boites aux lettres ressemble à des invitations en forme " d'after " ou de "le retour de la galette des rois".

    Je croirais à la sincérité de ces hôtes que lorsqu’au moment du départ, ils laisseront sur le guéridon de l’entrée un commentaire  rédigé et édité de  leur propre azerty.

     

    Priapisme intellectuel

     

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    Hier  j’ai surpris une de mes connaissances  en charmante compagnie, je  veux dire par là en la compagnie autre que celle de sa femme. Il est vrai qu’à être en compagnie de quelqu’une  il  est préférable qu’elle soit charmante.

    La réciprocité ne m’apparait pas aussi flagrante, la femme en générale (plus souvent en adjudant) recherche la sécurité et non pas une utopique compagnie en forme de faire valoir aux yeux de son entourage.  Lors de cette aventure la femme en générale râle ce qui la rétrograde au rang des adjudants  dont elle assume parfaitement le rôle.

    Nous avons sensiblement le même âge et nous avons blanchi sous le harnois.  La grise couronne en forme de laurier que nous portons n’est pas un signe de reconnaissance d’un césar quelconque mais la parure poivre et sel qui sied à notre âge. A  ce sujet  lorsqu’un de mes petits enfants remarque ma calvitie naissante je lui confirme qu’autrefois j’étais dans le bâtiment, représentant chez VELUX ou TOITCIEL pour les couvreurs.

    Pour les plus hardis  et connaissant mon passé,  je leur indique qu’au vue de la disposition de cette ouverture dans ce qui fut une toison, je reste en prise directe avec les illuminations que le Dieu du ciel daigne bien me faire parvenir.

    Revenons à  ma surprise qui devant mon étonnement m’a fait passer pour un « has been ».  Ce terme de « beeen » reste pour moi un mystère (beans)…oui j’ai été et le suis encore !

    Je passerais rapidement sur la donzelle (et oui…le privilège de l’âge fait que nous ne nous attardons plus sur les détails !) et me focaliserais sur cette étrange habitude que les hommes  possèdent.

    Ils se trompent de femme mais ne trompent pas leur femme. Tout est dans la nuance !

    Victime qu’il est l’ homme et en plus de ses sens abusés, il vient de se faire avoir comme le loup au coin d’un bois, pris la man dans le Tanga car même si les faits sont contre lui et ce n’est pas faire offense à  la robustesse qu’il incarne, tout mâle est susceptible de tomber dans le piège satanique (ça pour niquer çà nique ) que sont les charmes mis en avant d’une jeune et perverse porteuse de wonderbra push-up.

    Et si ces diablesses étaient voilées ! Finies les tentations qui allument les regards lubriques des mâles. Chasser le naturel il revient au galop ! L’homme ce prédateur, ce chasseur, ce cueilleur de fleurs fraiches a le besoin de  conquête dans le sang.

    L’infidélité masculine serait une bonne chose. SI, si c’est lui qui le dit.

    Non pas pour la reproduction de l’espèce ou à cause de l’asymétrie fondamentale des sexes : le mâle serait appelé à disperser sa semence alors que la femelle concentre la reproduction sur un embryon unique. Non. Tromper serait de  continuer à maintenir ses sens en éveil, à poursuivre sa véritable mission qui lui a été donnée tout en gardant de l’affection pour sa compagne, mère de ses enfants et jalouse gardienne des pratiques  « de ce qui fait du bien « à son homme.

     Les femmes dans leur grande majorité n’aiment guère partager. Elles le disent. Elles ont leurs raisons. Elles vivent cela comme une perte de valeur personnelle et un irrespect. Et elles veulent pouvoir compter sur l’homme.

    Laisser l’homme aller vers de nouvelles conquêtes c’est à coups sur ( ?) lui laisser la possibilité de continuer à être ce qu’il fut pour vous : un conquérant. Ne briser pas les ailes à cet albatros, sur terre il ne serait que l’image d’un oiseau à qui furent rogner les ailes, sous ce duvet d’oisillon poussent déjà les plumes d’un aigle.

    Resurgissent alors les paroles d’un Claude pas encore Nougaro :

    «  Mais chaque fois que l'on renifle
    La piste fraîche du jupon
    Pour un baiser, pour une gifle
    Sans hésiter nous repartons
    La main frôleuse et l'œil luisant
    Nous les donjujus, nous les don Juan. »

    La connaissance dont je faisais allusion en début de texte est l’archétype de Monsieur Toutlemonde.

    Atteint d’une grave maladie dont il connait les origines, il s’en est allé consulter le médecin de famille. Les symptômes ne laissent pas de place au doute, le toubib lui a bien précisé « voilà, vous êtes atteint par la cinquantaine ».

    Le malheureux en avait perdu le sommeil, obligé qu’il était de regagner fourbu, son charnier natal tel un vol de gerfaut après la fermeture du club de la ville voisine «  aux 6 fesses ».

    N’était-il pas contraint de changer ses dress-codes ? Lui qui, jusqu’alors s’habillait « la Redoute » c’est vers Cerutti qu’il se tournerait dés lors.

    Obligé de s’époumoner dans des salles de fitness, songeant même à se faire tirer la vieille peau, il finira par délaisser cette dernière en s’excusant de ne plus participer à la vie commune….tel un pot de rillettes il s’excusera « Chérie nous n’avons plus les mêmes valeurs ». Mais que dire des « valeurs actuelles » ?

    Un petit coup de canif au contrat, une petite entourloupe, rien de bien méchant je vous l’jure… « Pour une amourette qui passait par là, j’ai perdu la tête et puis me voilà »…gros Jean comme devant ! « Mais ma chérie, ce n’est pas ce que tu crois…toutes le apparences trompeuses sont contre moi… » Tout comme il l’était contre la jeune femme à qui il promettait « Edmond et la Mère Veil » lorsque sa « régulière » la mère de ses enfants l’a cueilli au saut du lit.

    La Bérézina de la coucherie, le Waterloo de l’amant tout est dit.

    Que restera-t-il de ces parties fine de culs ?

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  •  

    Par dessus les sautes d'humeur

    Je viens, je ne sais d'où !

     je ne sais qui je suis.

    Je meurs, je ne sais quand,

    je vais, je ne sais où !

    Et je m'étonne d'être heureux...Pas vous?

     

    Pour une saute d'humeur vous voilà servis, mais attention, comme un Loup peut en cacher un autre,  il ne faudrait pas que ce trouble de l'humeur soit en vérité l'humeur d'une sotte  et dissimule une histoire de bobo à l’âme.

     Bobo avez-vous lu ? Rien à voir avec le terme péjoratif pour désigner des personnes aisées se proclamant de gauche mais dont les actes sont contradictoires avec les valeurs qu'ils défendent.

    Rien que d'y penser  suffirait à déclencher chez moi  la mauvaise humeur !

     Bohême oui je le suis, mais bourgeois ah…Ça non !

     Quand je parle de « bobos» je fais allusion aux petits maux de la vie, ce que nous parents, nous  soignons  avec des câlins et des bisous.

     Et vous, messieurs, comment aplanissez vous ces fluctuations sinusoïdales de l'humeur de Madame ? (je parle de la vôtre)

    Ne serait-ce  par hasard par la signature d’un bail sans conditions entre votre « aimée » et le fournisseur exclusif de sourire : la Carte bleue, qu’elle soit Gold ou d’une autre couleur ?

    Là vous comprenez mieux pourquoi il est préférable de confier ce sésame à votre dame plus tôt qu'à une inconnue.

     Car mesdames, oui je le confesse, les sots ont eux aussi des changements d'humeurs surtout lorsqu'ils confient leur carte bleue à une sotte de mauvaise humeur.

     Les  sautes d’humeur …parlons- en !

    Vous, vous sentez parfaitement bien quand soudain un échange banal avec un ami ou un inconnu vous déclenche le bourdon. À toute volée le glas carillonne dans vos trompes d'Eustache...ding-dong, une cloche sonne, sonne, sonne et va d’échos en échos......

     Une modeste allusion à un sujet qu'il ne faut surtout pas aborder  et hop ! Un malfaisant vient de mettre un sou et le souk   de votre juke-box interne et en piste pour « noir c'est noir, il ne me reste que l’espoir »  de quoi faire naitre chez vous un brulant désir d’allumer le feu purificateur. Soudain vous vous sentez l’âme d’un kamikaze ou pire encore d’un djihadiste, vous allez tout faire sauter !

     Mais au juste sauter quoi ou qui ? Vous l'êtes-vous demandé ?

    Je connais sauter une ligne, sauter un ruisseau, sauter un mouton (ça, ce n’est pas dans mes habitudes....une chèvre...à la rigueur, mais sauter du coq à l'âne...quelle santé!) Sauter un repas (trop souvent) surtout lorsqu'il est composé de pomme frites sautées à la barre fixe et même sauter un paf (si, si cela existe bien) sauter sur tout ce qui bouge...

     La bipolarité est de mise elle est même « tendance » et dans certains milieux il faut en être comme autrefois de la jaquette et du bâtiment.

     Attention l'humeur changeante est bien spécifique et ne supporte pas la comparaison à ces pauvres gens qui se lèvent du pied gauche, qui ont un pet de travers et qui ne sont pas à prendre avec des pincettes.

     La versatilité  du bonhomme ne doit pas être prévisible sinon il y a mal donne.

    Non, il faut que le changement soit imprévisible et brusque, alors c'est le pied, le nec plus ultra.

    L'homme, le vrai, le dur, le tatoué rivalise avec la Femme, la vraie, la douce, l'aimante et parfois tatouée de là à les confondre ou à vouloir l'égalité il n'y a qu'un pas que je vais développer.

    Bon j’arrête là mes divagations et vais de ce pas, sauter à pieds joints sur une autre interrogation :

    « Savez-vous d'où vous venez et pire encore, connaissez-vous votre prochaine destination ?

    En toute sincérité qui êtes-vous et qui auriez-vous dû être, si à un moment précis de votre vie, il n'y avait eu ce petit grain de sable qui a fait se gripper la merveilleuse machine que vos parents avaient mise en marche.

    Ils avaient tout décidé à votre place et même ce Kipling de malheur avait doctement déclaré « tu seras un homme, un jour mon fils ».

    Les parents avaient tout programmé pour vous, ils ont pensé pour vous, décidé à votre place…tu seras notaire parce que papa ne l’était pas…

    Seulement voilà, tout ne se passera pas comme prévu… ce qui me fait penser aux caprices de la météo

     Personnellement ce sont des petits grains de beauté et de folie qui ont changé ma vie.

    Pour les Bretons, ce sont de gros grains (mauvais temps) qui embellissent leurs vies !

     Pour revenir au sujet, je ne connais qu'à moitié mes origines. Mes parents avaient décidé, comme les vôtres, que je serai un agneau ! Refus catégorique de la bête hurlante que j’étais.

     Ne sachant pas qui j’étais réellement, il a bien fallu endosser une  « peau de mue »  délaissée par un autre animal… n’imaginez surtout pas que j’ai épousé une vieille peau !

    Je n’ai fait que de me glisser dans la peau d’un autre, la pelisse d’un Loup m’a été proposée au moment propice.

    je pense savoir où nous nous trouverons « six feet under » dans quelques mois ou années mais par contre je suis heureux de vous retrouver et de vous imaginer en train de lire ce texte me rend de bonne humeur....et si vous le commentez alors là...je serais de très bonne humeur.

     

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  • Dans un passé récent un article relatait les agissements d’une bande de jeunes désœuvrés qui ont martyrisé un chat…comme çà...Par plaisir ? Non parce qu’ils s’ennuyaient !

     Une lectrice amie et blogeuse s’enflammait et par l’intermédiaire de son blog déclarait ouvertement que ces salopards méritaient le même sort. Cri du cœur, de colère contre de tels agissements.

     S’octroyant un droit de réponse, un écrivain en devenir  (et en manque d’auditoire) s’en prit violement à cette amie.

    En substance, il lui  reprochait ses propos plein de haine et de violence, pépinières de votes extrémiste qui allaient conduire cette femme vers des choix et agissements « frontistes »…vous me suivez ?

    « De quels droits vous comportez-vous de la sorte et pourquoi portez-vous un tel jugement ?

    En somme elle devrait avoir honte de sa réaction…un comble !

     J’ai pris la défense de cette femme qui n’osait plus réagir devant cette avalanche de procès d’intention.

    A travers de sa réaction oh ! Combien légitime, ce bourgeois mou du bulbe clouait à la porte de sa grange cette femme devenue sorcière aux yeux ‘’d’un con-bien pensant ‘’

     Quand un acte répréhensible est qualifié : de barbarie, qu'il est  inacceptable, injustifiable et même incompréhensible ou inconcevable n'est-ce pas une condamnation  sans appel ?

     Je vous relate quelques un des mes propos :

     

    Comment accepter ce lynchage, cette justice expéditive qui heurte vos bons sentiments, c'est peut être grâce à des atermoiements de « bien pensant » que la justice mène à un train de sénateur son fléau.

    Elle suivra son cours, loin des passions, à pas feutrés ou selon que vous soyez puissants  ou misérables les jugements de cour vous rendront pestiféré ou pas... comme ce chat.

     Vous avez le courage de vous mettre en situation « comment tu réagirais si on s'en prenait à tes enfants »  votre réaction est épatante car elle est celle d'un honnête homme plein d'insouciance : « je ne sais pas ». Avez-vous répondu dans mon premier post.

     Bluffé je le  suis  par un tel calme. C'est sûr vous êtes d’ailleurs...Olympien ? Self contrôle ou tournez-vous la tête de l'autre coté quand …..Une femme se fait agresser dans un métro ou que des loubards massacrent une petite vieille ?

     Voilà du pain béni pour les mauvais bougres qui, j'en suis certain, ont eu une jeunesse difficile.

    C'est ce que j'appelle la symptomatique du Tarot :

     « L’Excuse  n'est pas considérée comme un atout mais comme un honneur. » c’est cet honneur qui vous fait défaut.

     Ce monde bisounours dans lequel vous internez la rédactrice de ce « mein Kampf gegen das bose » est très loin du fleuve tranquille dans lequel elle a surnagé.

     Cette dame a une histoire elle en porte les dates importantes dans sa chaire, vous au nom de « REFERENCE DU BLOG) vous vous permettez de la rabaisser.

    Son sauf-conduit fut en d'autres temps délivré par un Anar de cœur et de tête, c'est donc dans un piège qu'elle serait tombée? Liberté j'écris ton nom partout....sauf ici ?

    A vaincre sans péril vous triompherez sans gloire..

     Vous laissant comme bien d'autres face à votre démission et à la mollesse de votre vie, j’espère que votre chemin  ou celui de vos proches ne croisera jamais d'enragés, d'affamés de vraie justice, vous l'apprendrez les moulins à vent ne sont pas dangereux.

    Vous ne  pouvez continuer de guerroyer littérairement, un jour vous aurez à prendre ouvertement position comme un Homme.

    En conclusion je vous reverrai à cette citation d'un homme qui je l’espère face aux pressions médiatiques ne dévira pas son lancé de pavés :

     

    Quand une fois la liberté a explosé dans une âme d'homme, les dieux ne peuvent plus rien contre cet homme-là."

     

    Je cite : « Dans le déroulement exaltant et plus que millénaire de notre civilisation, notre époque apparait comme figée. Progressivement le monde a été livré à la nonchalance, et c’est cette mollesse que l’on propose à l’excitation de ma génération.

    Se révolter devient alors une aventure superbement urgente et absolue. Des printemps de réflexion, des hivers d’indignation et toutes ces délibérations déguisées en résistances, doivent forcément aboutir à l’action.

    Et celle-ci doit être absolument coupante, décisive, déchirante, elle doit interrompre le temps de la science et de la  conscience pour une plongée brutale et grisante dans l’inconnu où il n’est plus concevable d’observer une distance démocratique. ».

    J’appellerai cette action : mettre les mains dans le cambouis.

     

     

     

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  • Ch. BEAUDELAIRE

    Le vin des chiffonniers

    Souvent, à la clarté rouge d'un réverbère
    Dont le vent bat la flamme et tourmente le verre,
    Au coeur d'un vieux faubourg, labyrinthe fangeux
    Où l'humanité grouille en ferments orageux,

    On voit un chiffonnier qui vient, hochant la tête,
    Butant, et se cognant aux murs comme un poète,
    Et, sans prendre souci des mouchards, ses sujets,
    Épanche tout son cœur en glorieux projets.

    Il prête des serments, dicte des lois sublimes,
    Terrasse les méchants, relève les victimes,
    Et sous le firmament comme un dais suspendu
    S'enivre des splendeurs de sa propre vertu.

    Oui, ces gens harcelés de chagrins de ménage,
    Moulus par le travail et tourmentés par l'âge,
    Éreintés et pliant sous un tas de débris,
    Vomissement confus de l'énorme Paris,

    Reviennent, parfumés d'une odeur de futailles,
    Suivis de compagnons, blanchis dans les batailles,
    Dont la moustache pend comme les vieux drapeaux.
    Les bannières, les fleurs et les arcs triomphaux

    Se dressent devant eux, solennelle magie !
    Et dans l'étourdissante et lumineuse orgie
    Des clairons, du soleil, des cris et du tambour,
    Ils apportent la gloire au peuple ivre d'amour !

    C'est ainsi qu'à travers l'Humanité frivole
    Le vin roule de l'or, éblouissant Pactole ;
    Par le gosier de l'homme il chante ses exploits
    Et règne par ses dons ainsi que les vrais rois.

    Pour noyer la rancœur et bercer l'indolence
    De tous ces vieux maudits qui meurent en silence,
    Dieu, touché de remords, avait fait le sommeil ;
    L'Homme ajouta le Vin, fils sacré du Soleil !

     

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  • En ces temps de grands brassages ethniques seul le prédateur suprême a le droit de franchir les frontières sans trop de mal…..quoique depuis quelques temps, le « number one «  des prédateurs se comporte en prédateur suprême pour ses congénères ( voir vos journaux habituels « causant « politique)

    Le Loup qui par nature et nécessité vagabonde  est pourchassé par le «cretinus erectus» qui n'est pas toujours des Alpes. Longtemps à l’abri des balles bénies par intérêts électorales ne l’est plus pour les mêmes motifs. Ségolène si tu nous regarde….

     Seuls la Femme et l’Homme sont capables d’être aussi versatiles !

    Il a été étudié lors de ces dispersions que 90 % de la mortalité du canis Lupus Albus est imputable à l'activité humaine. Un Loup gris a effectué près de 800 kms allé et retour étude de MECH & FRENZEL en 1987

     Étonnant non ?

    Grâce au métissage des populations, on pourrait un jour assister à des scènes cocasses dans les quelles des individus de différents pays tenteraient de parler du Loup dans leur langue maternelle.

     Imaginez un peu un Wallon racontant qu'il a vu le Leu à un Berrichon qui ne connaît que le Loube. . Assistant à la conversation le Provençal parlant de Lup et Lop à un Catalan qui lui ne connaît qu’El llop pyrénéen.

    Placé à la table prés de la fenêtre, un basque se sentant loin de sa Vasconie natale fait allusion à Otso, tandis que son compagnon buvant un vinho verde, imite el Lobo de sa Lusitanie d’enfance.

    Médusés les Slaves cherchent à faire comprendre que Vilka et Vluklu sont en réalité le Wolf teutonique et que le Vuk de Croatie  est le cousin germain du Làng de Pékin !!

    Quel merveilleux concert prouvant, s'il était nécessaire de le faire, que CANIS LUPUS est planétaire.

     Il est des proverbes de pays lointains, la Chine, la Russie ou la France (qui s'éloigne de plus en plus de ce que j'ai connu) qui se retournent de façon imprévue à l'encontre de leur auteur de par leur destination.

     Ainsi dit-on en Chine : « agneau en peau de tigre, craint encore le Loup » traduisant l'impossibilité de changer ses habitudes. Rien de nouveau dans ce sens, l'homme restera toujours ce qu'il est, le prédateur number one. (Le loup de Zhongshan dans CHINE INFOS Nov. 2011).

     « Alors que tu chasses un tigre par la porte de devant, un loup peut entrer par celle de derrière ». Cela ne vous fait il pas songer aux représentants de commerce qui une fois mis à la porte de votre maison, rentrent par la fenêtre ? 

    En Sibérie, terre accueillante pour nos Amis, il est dit  « fais ami avec le Loup, mais garde ta hache prête ». Prête à quoi ? Plus rusé et faux ami que l'homme tu meures !!

     Un ami arménien me citait un proverbe de son pays : « les chiens qui se battent entre eux s'unissent contre le Loup » Il est vrai que l'homme a su domestiquer et donc avilir ce cousin du Loup, apprenant ainsi aux chiens esclaves à mener une vie pitoyable semblable à bien des vies des humains. 

    En France, le ton est donné. Le Loup est un criminel. « Où le loup trouve un agneau, il en cherche un nouveau ». Traduction: le criminel ou l'assassin revient toujours sur le lieu de son crime.

    C'est pour cela que l'homme recommencera ses pires conneries comme par exemple la destruction de la flore et de la faune, de son écosystème. C.Q.F.D.

     Mais en apothéose, Don Camillo surgit pour nous asséner à grands coups de goupillon et d'eau bénite «la  patenôtre du Loup ». Cette ancienne prière psalmodiée par nos ancêtres à la tombée du jour est toujours en pratique dans des contrées de la Haute Auvergne.

    Tout petiot je gardais les moutons (et oui, boire le calice jusqu'à la lie!!!) dans le Cantal à la lisière des bois de la Margeride. J'ai souvenance de ce que le patron m'avait averti de bien faire attention aux Loups qui rodaient mais que grâce à la fameuse prière, tous les dangers étaient écartés.

    Un matin, des chasseurs avaient abattu un de ces suppôts de satan et la dépouille avait été exhibée sur la place du hameau,

    Nous étions en l'an de grâce 1958 et moi, bonne pomme, j'ai gobé la supercherie et craché sur un chien errant.

    « Se dit lorsqu'on veut faire entendre à quelqu'un qui fait des menaces qu'on saura bien l’empêcher de les mettre à exécution, par allusion à cette prière qui est supposée avoir la vertu d'éloigner les loups de la bergerie.

    En cette année 2016 pendant laquelle  de nombreux Loups seront « supprimés » en France, pour que l’électorat de certains partis politique ne s’égarent pas dans les urnes, je vous laisse réfléchir à un sujet très préoccupant : lorsque l’Homme aura réussi à faire disparaitre le Loup à qui va-t-il s’en prendre ?

    A suivre

     

    cacophonie de Loups ?

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  • Le rêve fait-il partie des moyens de communication mis à notre disposition ?

    Oui j'en suis intimement convaincu à condition que son interprétation ne soit pas soporifique.

    Parlez-vous en dormant ou restez-vous muets dans le silence de votre lit douillet ?

    Êtes-vous en accord avec cet adage : La parole est d'or et le silence est d'argent  ou tout comme moi, prétendez-vous que la parole rapporte de l'argent pendant que nous dormons.

    Parlez-vous en dormant, ronfler ne vous suffit plus, il faut avoir une vie durant votre sommeil ... Surprenant non ?

    Au cours d'une nuit sans kim wilde, j'ai assisté à un de mes rêves. Dans cet étrange rêve j’entendais un représentant de la loi des hommes crier :

    « tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens »

    Ce bon - homme s’adressait en vociférant à un parterre de gens en armes. Ils encerclaient des Gens du Voyage réunis en une tribu prophétique aux prunelles ardentes (Baudelaire )

     

    Réveillé en sursaut le cœur battant la chamade, une étrange question me turlupinait :

    ''Celle qui partage ma couche et qui est Gitane, allait-elle être jugée, condamnée et exécutée ''

    Était ce le même Dieu qui avait donné tous pouvoirs à ce magistrat pour occire cette femme

    Serait-elle reconnue par Dieu ?

    Si tel était le cas je me rendormirais rassuré… Ma femme serait  jugée, condamnée, exécutée.... mais sauvée.

    Ouf j’avais eu peur pour rien!

     

    Le doute étant permis, il s’installa me montrant ainsi qu’il n’avait cure de ma permission pour cohabiter.

    Pourtant, petit j’avais appris que d’un même robinet ne pouvait couler de l’eau propre à la consommation et de l’eau saumâtre.

    Alors de quel robinet coulait le Bon Dieu ?

    Ne tenant pas à retourner dans cette sale (de) justice je me mis à gamberger laissant mon esprit préoccupé se tailler un espace de liberté propre à la divagation. Une  sorte de no man’s land dans lequel il se mettrait en roue libre, sûr et sans crainte que personne ne viendrait le déranger.

     

    Plus tard de retour à la civilisation, les bonnes choses ayant une fin, mon esprit me raconta que les hommes avaient besoin de mettre des étiquettes sur tout ce qui les entouraient.

    Un besoin de classifier, de cataloguer, de reconnaître qui était qui et qui faisait quoi. Pas de place à l'inconnu ni aux rêves.....souvenirs attention danger.

    Toute leur vie serait alors figée dans des tiroirs qu'une main divine ouvrirait «  quand ce serait le moment » leur destin était programmé, tout écart de déroulement de leur vie était impossible puisque pas prévu. 

    L'individu devenait répertorié, conditionné et mis en rayon comme au super marché et  pour eux cela été "rassurant ". 

     

    Ainsi quand monsieur Ducon voulait trouver le responsable de la hausse de ses impôts et de la vie chère, il sortait son fusil et se rendait à la grande surface locale pour tirer sur le voyou responsable de sa misérable petite vie.

    Un dialogue surréaliste digne des plus beaux films d'horreur s’affichait sur l’ écran noir de mes nuits blanches. Notez bien que le sommeil est responsable de bien des excès.....Dans la réalité c'est encore......pire que ça.

     -''Bonjour madame, je voudrais un article portant l’étiquette : responsable de la hausse du coût de la vie''

    La vendeuse se mit en quête pour trouver dans ce grand bazar de la cour des miracles une dizaine d’étiquettes ainsi libellées :

    ” Chômeur, homme politique, agriculteur, retraité, malade.”

    - ''merci je me ferai bien un chômeur et un homme politique''.

     Deux cartouches plus tard, de retour à la maison il brandissait fièrement devant " Bobonne la Peroxydée " les deux étiquettes encore fraîchement tachées de sang.

    - ''la vendeuse m’a fait un prix pour les deux… Zut ! Regarde l’étiquette du chômeur…c’était le voisin d’en dessous…ah le con !… Remarque il avait dépassé la date limite de consommation, 55 ans… C’est rendre service à la FRANCE''.

    Plus tard il irait à son bureau, rasant les murs pour être certain que personne n’irait lui coller une étiquette dans le dos comme le font les gamins au moment de la Pâques.

    -''Bonjour Dugland, ça va ? Le week-end s’est bien passé ?''

     Catastrophe p’tit gars fallait pas poser la question ! Waterloo morne plaine qu'est la vie de son compagnon de bureau-galère.

    .Vous savez quoi ? À côté de petit pavillon, avec sa petite femme et ses petits chiards, dans sa petite voiture au gros crédit, son petit cul serré dans son petit costume, Monsieur Vincent les a rencontrés.

    Ils arrivent, les envahisseurs sont là.

     Mais que font la Police et le Maire…,

    -''Tiens en rentrant ce soir je vais au super marché me payer deux étiquettes responsables de ma gastro… Pan, pan. Ça ira mieux ! Je vais en les tuant faire disparaître 2 causes de mon mal-être''

    ''- Faut que j’aille à la compta pour faire un emprunt parce que là mon vieux, je vais me payer un sacré paquet d’étiquettes, y sont nombreux les salauds.''

    ''- qui ça ? Dis-tu te fous de ma gueule…y sont responsables de tout le bordel dans le pays, tu vas voir… Ta maison, ton auto, ta femme… Y vont tout te piquer…

                ''-Ta femme ? Ah bon tu veux t’en débarrasser ? Je crois que certains rachètent les antiquités….enfin quoi tu sais bien de « quoi » je parle.

                ''-Des Gitans, Tziganes, Rroms, Yéniches, Manouches…des voleurs de poules ! Dehors les Romanos !''

     Un tintamarre effroyable sanctionna soudainement mon cauchemar en me rapatriant à la réalité.... Le réveil.... Sorte de charge héroïque au son du clairon...redescendre sur terre, reprendre contact avec la réalité...ouf sauvé par ce con de gong.

     Tout ça n'était qu'un cauchemar, les personnes n'étaient pas jugées sur leur appartenance à un groupe d'individus, de races ni de couleur.

    La première information qui a déboulée dans ma tête au réveil se résume à ce passage emprunté à un site du web dont je vous communique les grandes lignes:

    JE CITE :

    Mon esprit répugne à l’usage excessif de vocables prestigieux depuis qu’ils sont mis sous surveillance, estampillés monopole d’Etat… La liberté et l’égalité, par exemple, sont plus des chevaux de Troie que des chevaux de course. Je préfère aujourd’hui croire aux mots de chair et de sang, aux mots qui hurlent  : comme l'amitié, la famille ou le courage.

     Pourtant nous ne sommes pas près de voir triompher un quelconque Bohémien à un concours de chansons à la télé, ça c'est ce que je disais en mai 2014.... The VOICE si tu m'entends.

     

    RÊVE ÉVEILLE ou REALITE

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  • À contrario des "mange-matins" je vous présente " les petits-matins- bonheur ".
    Les mange-matins vous les subissez, ils vous sont imposés par la promiscuité qui règne dans nos vies modernes.


    Il y aurait bien l'île déserte, mais là, c'est vous qui devenez vite un casse-couilles pour le crabe du coin. Donc l'œil aux aguets, le col relevé, la "portugaise désensablée " sensible aux moindres signes avant-coureurs de la présence d'un empêcheur de vivre en rond, vous avancez vers votre challenge quotidien.

    Cette épreuve de forte se résume simplement dans le fait de passer une journée cool sans avoir à piler le front d'un quidam à l'aide de vos poings serrés.


    La voiture a démarré, le premier feu est passé au vert, personne pour vous faire la queue de poisson qui va vous mettre debout sur la pédale de frein... Tout va bien...
    THE place de stationnement vous a été réservée par votre ange gardien et en ouvrant la porte de votre boulot vous apprenez que " truc-chose"- sera absent pour la journée... Super cool.

    Mais retour sur le film... Magnéto Serge...

    Matin bonheur, instant privilégié qui vous est réservé à vous et rien qu'à vous.
    Cet état de grâce tombe sur vos états d'âme sans crier gare et revêt une apparence différente à chacune de ses visites... Son déguisement est tel, que personnellement, je ne saurais le reconnaître lorsqu'il vous rend visite.
    C'est un passe-muraille que seul le destinataire est capable de reconnaître.

    Alors pour vous, quelle est  l'identité de votre matin bonheur ?


    - Est-ce une brèche ouverte dans le temps difficile d'une négociation,
    - Un temps de repos dans une série de pépins qui vous harcèlent comme une rage de dents,
    - Une lettre que le facteur aura oubliée de déposer dans la boite-aux-pépins,
    - Un rayon de soleil qui illumine un salon Ikéa-à-crédit, touchant du bout de son rayon magique un vase de fleurs que l'on n'ose pas jeter, car ces fleurs fanées prolongent le moment de la dernière visite de ...,
    - Une chanson qui vous transporte dans un tourbillon de frissons,
    - Un coup de téléphone vous rappelant que vous existez encore pour celui qui a fait le numéro ( mieux que ceux du loto en ce jour),

    - Une alerte « notification » de chez « Google+ » vous plongeant dans la béatitude suite au naufrage de vos vœux dans l’immensité de ceux adressés pour cette année nouvelle,

    - Le tintement de la cuillère à café contre le bord d’une tasse de jus de Josette (si votre femme se prénomme ainsi !),

    - Des « news » from « la Belle province » fraîchement enneigée….Louise si tu es réveillée !

    Vous voyez, alors que vos yeux parcourent ce texte, vous gambergez sévère.

    Devenez un chercheur de bonheur, il existe dans votre vie et c'est à vous de le trouver,

    Exigez la qualité NF et le « Made in Vous-même » vous avez des droits au bonheur, c’est dans la Constitution,

    Choisissez le fait main car vous êtes l’artisan de votre propre bonheur,

    Cherchez le « do it your self » car personne ne le fera à votre place,

    Et enfin, devenez un découvreur de moments trésor,

    Soyez un inventeur d'idées à faire plaisir.


    Ça marche, j'en suis la preuve vivante

     

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  •  

    Mettez- vous à l'écart du brouhaha qui pollue votre vie, seul face à votre cœur, vous verrez défiler devant vos yeux tant de moments décoiffant qui vous donnent parfois l'envie d' appuyer sur "pause".

    Il y a eu le départ d 'êtres essentiels à votre vie, un vide difficile à combler...Et maintenant que vais-je faire....

    L’arrivée d'inconnus dans votre microcosme qui désormais occupent une place " du style " comment je faisais avant ?

    D' Incroyables rencontres fugaces que vous n'avez pas forcément envie de partager  car "rien que pour moi"... et puis comment expliquer ce moment étrange et déroutant à votre entourage...qui serait capable de comprendre ce moment magique ?

    Il y a eu des promesses impossibles à tenir " du moins pas pour le moment " to morrow....quien sabe ?

    Les bonnes résolutions " demain j'arrête... d'arrêter "

    Les instants où la tête baissée, le front bas..ah oui ..pourquoi ? vous savez ce moment merdique durant lequel un trou de souris vous aurait été d'un grand refuge...

    Les numéros de téléphone qui s'affichent "oh encore lui ?...zut je ne suis là pour personne...

    Les " chéri, as-tu pensé à..., " ben voyons ...je ne pense qu'à ça.. tu vois pas que tu me prends la tête ?

    Les sorties de mêlée «la tête haute, le torse bombé» je suis un cannibale... va y avoir du sport..je suis un dur, un homme un tatoué...qui c'est le patron ?..ou la patronne

    Les moments de plomb, " je cherche une source sur le bord du chemin, de la fraîcheur, quelqu'un qui me tendrait ou tiendrait la main"qui apaiserait cette terrible soif...

    La petite main qui se tend vers vous «papa, maman.. viens me chercher» ne me laissez pas .. c'est trop dur...je suis encore si fragile.. toi tu es un rocher...

    Tous ces grands moments d'incertitude.. " que dois je faire.. comment bien faire.. pas le droit à l'erreur" je voudrais bien te voir à ma place, je ne suis qu'un Homme et merde !

    Les petits matins..parlons en.. à qui appartient cette gueule dans la glace ? je ne peux plus la voir en peinture...mais c'est la mienne ! chance mesdames, vous ne vous rasez pas !

    Mettre un pas devant l'autre, ne pas tomber...qu'est ce qu' il me veut celui là.. Quel casse -couilles !

    Les "mange-matin" tu connais pas ?... la rencontre fortuite ou obligatoire, au boulot  par exemple, d'un ou d'une collègue, qui de par son attitude va te mettre "le souk" dans ta vie pour toute la journée... Vie De .M...

    En un mot votre vie de tous les jours, pareille à la mienne alors pourquoi nous sentons nous si différents si éloignés.....par manque de temps peut-être, par pudeur, par peur de quoi ? De qui...?  tiens je me resservirais bien un p'tit café, toujours vouloir tout expliquer!!!

    il est drôle ce gars j'aimerais bien le voir à ma place.. un vrai " MANGE MATIN" ;

     

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